Les traces effacées
Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son tradition, attendait que l’obsidienne traite à frais. La pierre black semblait absorber la luminosité lunaire, vibrer par-dessous la pression du vent, et pour certains, sans informer, elle résonnait de cette voix surannée